EMOTION CULTURELLE.
Par Charles Martini.
Le native américain aime le doux son du vent qui s’élance comme une flèche à la surface d’un étang.
L’air est précieux à l’homme rouge car toutes chose partage le même souffle: la bête, l’arbre, l’homme, tous épousent le même souffle.
Ce souffle est contenue dans les bijoux Harpo, c’est lui qui les rend si fascinant.
Turquoise bleue et brune qui nous ramène unifiés sur la Pangée oubliée.
Bracelets enchantées de sorcier, esprit captif d’un pendentif.
Géniaux joyaux, amulettes secrètes, ornements charmants.
Depuis 1971, Harpo a le pouvoir de faire de nous des enfants qui se tiennent sur les hauteurs d’une montagne pour jouer avec le soleil et les orages en riant.
Tout les pouvoirs nous sont donnés. Il devient possible d’inventer un nouveau langage, de dialoguer avec le vent, de parler à nos rêves, de mimer le vol d’un oiseau ou la marche incongrue d’un ours.
Chaque bijoux est fabriqué par des artisans que ce soit chez les Navajos, les Hopis, les Zunis, les Pueblos, et bien d’autres tribus.
Ils sont ainsi chargés de toute une longue histoire, qui habite secrètement ces objets.
C’est profondément touchant, presque un peu bouleversant en fait.
Regarder un bijou Harpo c’est un peu apprendre à voir avec l’oeil de l’esprit, pour voir que les objets eux même éprouvent de la pitié pour les hommes.
À la grande boutique, on est peut être du sud-est mais on perd pas le nord.
On sait bien que cette magie là on l’empreinte au grand ouest.